La Sardine, 17 mois au compteur, a un peu de mal à rester
assise maintenant qu’elle marche. Mais le rituel de l’histoire du soir est bien
installé et elle adore plus que tout se caler contre un coussin de son canapé
et attraper un bouquin.
La Sardine n’a pas encore la patience d’écouter de vraies
histoires (même très courtes). Mais désormais les livres ne sont plus pour elle
simplement des objets qu’on mordille ou qu’on lèche. Elle a bien compris
maintenant que les pages d’un livre pouvait représenter les objets du monde. De
même qu’elle reconnaît Maman sur une photo, elle reconnaît les objets de son
quotidien qui sont dessinés. C’est pour cela qu’en ce moment les imagiers font
un carton auprès de la petite Sardine. On peut passer un long moment à tourner
les pages des imagiers de Milan Jeunesse, collection « Mes imagiers à
toucher » : ce sont de petits livres cartonnés, avec un objet par page
dessiné simplement sous son nom, et agrémenté de matières à toucher. Dans Je m’habille, sont nommés les vêtements
de l’enfant (couche, body, pull, chaussettes… 13 objets en tout) ; dans Je vais au parc, on voit chacun des
objets clés du parc (banc, ballon, oiseau, bac à sable…). Les dessins d’Amélie
Graux sont tout mignons, simples et permettant à l’enfant de bien reconnaître
ce qui est représenté.
(c) Milan Jeunesse |
La collection a plein de titres et il est fort possible qu’on
investisse également dans d’autres thèmes !
- Collection « Mes imagiers à toucher », Milan Jeunesse